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20 May 20 | News

Marché du travail transfrontalier : quelles équations à résoudre ?

Ce cahier illustre les questions de compétences recherchées dans la Grande Région, les inadéquations entre offres et demandes de travail, mais aussi les nouveaux modèles d’organisation du travail, ou de croissance

Après un premier numéro consacré aux évolutions démographiques, ce numéro1 interroge les évolutions actuelles et futures du marché du travail transfrontalier.

D'après les prévisions, le travail frontalier devrait connaître encore un essor important dans la Grande Région. Mais pour quels secteurs économiques et quels métiers ? Les réponses à ces questions nécessitent d'interroger les évolutions actuelles et futures du marché du travail transfrontalier. C'est tout l'objet de ce Cahier n°2 publié dans ce contexte de crise sanitaire. Nous percevons déjà trois déséquilibres majeurs du marché du travail qui vont s'amplifier dans les années à venir et constitueront autant de nouvelles équations à résoudre.

Pour traiter ces différents aspects, ce Cahier comporte cinq articles, constituant des synthèses de travaux réalisés par divers instituts. Il ne prétend pas être exhaustif, ni sur les composantes territoriales étudiées, ni sur les diverses équations à résoudre. Il illustre les questions de compétences recherchées dans la Grande Région, les inadéquations entre offres et demandes de travail, mais aussi les nouveaux modèles d'organisation du travail (télétravail - sujet d'actualité, analysé ici avant la crise sanitaire), ou de croissance (croissance qualitative), reflets de ces équations difficiles à résoudre.

Ce numéro sera suivi, à l'automne 2020, d'un Cahier spécifiquement consacré aux questions de formation (formation professionnelle, formation transfrontalière …) dans la Grande Région.

Et aussi…
Une table ronde de présentation de ce numéro et du numéro suivant (traitant des questions de formation) sera organisée avec le soutien de l'UniGR-Center for Border Studies. Plus d'informations sous peu.

1 Edité par Rachid Belkacem (Université de Lorraine) et Isabelle Pigeron-Piroth (Université du Luxembourg)